samedi 28 janvier 2017

EVENEMENTIEL : LES TENDANCES 2017


L'année 2017 sera celle de l’expérience et du sensationnel !




















L’expérience : votre public est connecté. Ne le déconnectez pas !

Le public fait le show !

Les invités font vivre l’événement par leur communication sur les réseaux sociaux, le partage de photos, de vidéos, en direct. Les organisateurs ne détiennent plus à eux seuls la maîtrise de l’animation qui se voudra interactive et participative, conscients que pour accroître la notoriété et la viralité de leur événement, il faut encourager les contenus partagés.


Les moyens de viralité

Aussi, la mise en place d’un Community Wall ou d’une animation photo digitalisée sont des moyens efficients pour dynamiser toute action de communication événementielle.

Le Community Wall offre aux participants d’un événement, une grande projection du flux d’informations issues des réseaux sociaux permettant de faire réagir en direct tous les intéressés. La projection se fait in situ et diffuse l’ensemble des messages postés par Twitter, Facebook, … en temps réel et permet à chacun de s’exprimer à sa guise. Le Community Wall remplace le bon livre d’or d’antan.

Les partenaires et sponsors peuvent y voir leur logo affiché.


L « boom » du live streaming 

Grâce aux plateformes Facebook Live et Periscope, le live streaming explose! On partage en direct des vidéos pour faire vivre aux internautes une expérience unique et simultanée et décupler la visibilité sur le web. Le grand plus est d’utiliser des drones de caméras 4K(par exemple, avec le Phantom 4 de Dji) pour éblouir son audience 


La réalité virtuelle et augmentée 

Hologrammes, visualisation 360°… Bienvenu dans l’illusion des sens et de la « réalité mélangée »
Les technologies submersives évoluent et nous offrent des expériences insolites, multi-sensorielles et transcendées par des contenus 3D de plus en plus réalistes. La frontière entre le réel et le virtuel s’estompe progressivement …

Par ailleurs, elles ont une influence positive sur l’individu, parfois supérieures aux actions marketing traditionnelles, et répondent aux trois objectifs de toute communication :
conatif : sur l’intention d’achat  du consommateur ou et la recommandation,
affectif : sur la satisfaction et la relation marque-public,
cognitif : sur l'attractivité de la marque.

La réalité augmentée pourrait donc être un outil efficace pour les campagnes marketing des annonceurs et avoir un fort impact sur le comportement du consommateur. Pouvons-nous imaginer le temps où chacun sera équipé d’un appareil lui permettant de voir le monde comme il le veut ? Cela relève pour l’instant de la science-fiction mais pourrait arriver bien plus vite qu’on ne le pense…

Comment les professionnels de l’événementiel vont-ils exploiter tous ces concepts d’animation afin d’entretenir la confusion entre numérique et physique ?




Le sensationnel analysé par le data


Face à un monde concurrentiel implacable, il est primordial de marquer sa différence de façon exceptionnelle  par la maîtrise des nouvelles technologies pour susciter de l’émotion chez le public à travers des expériences uniques, créatrices de valeur.

Aussi, est-il important de bien connaître les attentes de son public afin d'élaborer des stratégies de communication qui prônent l’analyse du data afin de capter en temps réel les préférences de chaque invité.


Les applications mobiles événementielles continuent de se perfectionner en offrant aux utilisateurs la possibilité d’accéder à des informations pratiques, mais aussi d’interagir en direct lors des animations et conférences ou encore de noter la qualité des stands et produits.


Les bornes interactives permettent également de proposer une animation ludique aux participants tout en récoltant de la data. Ce dispositif interactif permet de générer des tendances sur la consommation des clients tout en augmentant la notoriété de la marque.


2017 sera l’année de l'interactivité, avec la naissance de format de conférence qui s’implémentera dans un processus bidirectionnel, avec la création d'applications et de formats électroniques accessibles par le biais des Smartphones.


Spécialisé dans l’événementiel haut de gamme, Sense Agency conçoit des événements sur-mesure, parfaitement ciselés selon vos attentes. Nous disposons d’un réseau de conférenciers, reconnus dans le monde de la pensée, pour animer votre communication interne et externe et allier l’idée à l’action.
De l’organisation à la production, Sense Agency vous accompagne dans toutes les étapes de réalisation : conférencier trié sur le volet, thématique originale, style personnalisé, format dédié, …  Créatifs et méthodiques, nous vous apportons une gestion de projet cousue main.

Un moment privilégié « haute-culture » pour partager vos messages de façon unique et pertinente !

N'hésitez pas à contacter Céline Dardour pour l'organisation de vos événements : 
Tel: +33 (0)6 76 06 43 19
cdardour@senseagency.fr

Source : Mathieu Cheminal HubforumParis

mardi 24 janvier 2017

Storytelling, not sorrytelling



Et si l’histoire de la marque ou storytelling était le début d’un conte de fée …. :

Il était une fois une eau minérale naturelle si pure au cœur des Alpes qu'elle préserve la jeunesse ….
Il était une fois un site internet qui proposait des ventes privées de marques connues à prix cassés …
Il était une fois une voiture non polluante d’un designer mégalo-visionnaire qui avait le pilote automatique …
etc … etc ….

Vous avez  trouvé ! Derrière chaque « il était une fois.. .» se cache une marque. C’est le rôle de l’histoire. Elle ancre la marque dans l’imaginaire du public grâce à sa puissance évocatrice.

Au-delà des histoires, n’oubliez pas le choix des mots car  « les mots ont un sens » et sont parfois, à eux seuls, une histoire.

Qui se souvient de Benjamin-Patrice Magnard ? C’est lui, qui a crée Alapage.com, la première librairie en ligne, bien avant Amazon. Sa passion ?  La transmission du savoir.
Il faut dire qu'il a de qui tenir : son père est l’inventeur des Cahiers de vacances  qui ont permis à des millions d’enfants de se cultiver de façon ludique.
Voilà un exemple d'ancrage apporté par le storytelling qui permet à l’entreprise d’être reconnue  de façon unique, et délimite un territoire qui lui est propre, infranchissable par la concurrence.

Pour que le storytelling ne devienne pas sorrytelling

Souvenez-vous de l’affaire Acadomia, leader du soutien scolaire à domicile, dénoncé par la CNIL pour l’existence de fichiers avec des commentaires peu amènes sur les parents.

Il est souvent dit qu'une promesse engage d'abord ceux qui la reçoivent, plutôt que ceux qui l'ont faite. L'histoire de l'entreprise est considérée comme un engagement vis-à-vis du public et toute incohérence sera ressentie comme une trahison. Sortir des frontières de son storytelling endommage bien souvent la marque et fait des dégâts qui ne sont pas toujours réparables.
D'où l'importance de respecter son storytelling afin d'éviter le sorrytelling.

Puisque l’histoire de la marque va contribuer à ce qu’elle soit connue et reconnue du grand public, il est important d’en avoir une, mais attention au faux storytelling, même si parfois çà marche !

Bien avant l’ère du web 2.0, le faux storytelling de la liqueur Bénédictine du groupe Bacardi a servi sa réputation.  Les amateurs de digestifs en apprécient toujours sa recette tenue secrète à base de 27 épices orientales et de différentes plantes.
Au XIXé, Alexandre Prosper Hubert Le Grand, négociant en vin et industriel, eut la brillante idée de lui coller une légende pour le moins alléchante et truculente. Ce dernier  aurait  trouvé la recette dans un manuscrit du XVIè siècle rédigé par  le père Bernardo Vincelli, d’origine vénitienne, moine de l’Abbaye bénédictine de Fécamp. Il aurait fait goûter son précieux breuvage à François 1er qui en raffola et aurait déclamé « Foy de gentilhomme ! Onc n'en goustai de meilleur ! » et en fut le premier publicitaire.

Mais, aujourd'hui, avec les réseaux sociaux, les chaînes d'information en continu, tout finit par se savoir. Aussi, on imagine quelle serait la débâcle de notre pauvre Alexandre Prosper Hubert Le Grand!


Il est essentiel de respecter son storytelling, de le faire évoluer en cohérence avec l’air du temps et de veiller  son adéquation avec son public et la société.

mercredi 18 janvier 2017

L'incubateur de start-up géant de Xavier Niel ouvrira ses portes en avril 2017

Situé dans le 13e arrondissement de Paris, «Station F» va accueillir 10 incubateurs de start-up, un restaurant et un auditorium.
Prochain arrêt: l'inauguration. L'incubateur de start-up géant de Xavier Niel a dévoilé lundi ses premiers partenaires. Rebaptisé Station F, il ouvrira ses portes en avril 2017 au sein de la Halle Freyssinet, ancien bâtiment ferroviaire dans le 13e arrondissement de Paris. Plus de 3000 postes de travail seront mis à disposition des start-up. Dévoilé en 2013, ce projet pharaonique a pour ambition de devenir le centre névralgique de l'innovation à Paris, au travers de la constitution d'un campus dédié aux entrepreneurs et à leurs activités. Il s'agit de la plus grosse infrastructure du genre jamais construite en France. Station F veut accueillir au moins 1000 start-up en son sein, venant du monde entier.

Un réseau d'entrepreneurs
Dès l'année prochaine, les entrepreneurs pourront postuler à dix programmes d'accompagnement gérés par des partenaires de Station F et hébergés dans la Halle Freyssinet. C'est le cas du site d'e-commerce Vente-privée ou l'école de commerce HEC, qui va y déménager son incubateur de start-up. Facebook est également partenaire du lieu. Les détails de son investissement ne sont pas encore connus. Station F proposera lui-même son propre programme d'accompagnement de start-up, le Founders Program. Ce dernier se veut volontairement léger: pas de mentor ni d'atelier obligatoire, mais un accès à un réseau d'entrepreneurs prêts à offrir conseils et outils pratiques. «La majorité des problèmes des entrepreneurs trouvent leurs solutions chez d'autres entrepreneurs», estime Roxanne Varza, directrice de Station F, dans une interview accordée au Figaro. Les start-up intéressées peuvent postuler à ce programme jusqu'en février. Le Founders Program doit suivre une centaine d'entre elles, à raison de 195 euros par mois pour un bureau et cette mise en réseau.
Les spécificités des autres programmes d'accompagnement sont à la discrétion des partenaires de Station F. Chacun doit avoir sa spécialité. HEC va déménager à Station F son incubateur destiné à ses étudiants et diplômés. Vente-privee y installera sa toute première structure du genre, qui doit accueillir 80 personnes. Les start-up, spécialisées dans la mode, la distribution ou le commerce en ligne, bénéficieront d'un accompagnement complet d'accélérateur: suivi d'un mentor, ateliers sectoriels, etc. Ce programme sera proposé gratuitement aux entreprises choisies. Station F facture à ses partenaires au même prix que les entrepreneurs suivant le Founders Program, à 195 euros par bureau disponible et par mois. Un investissement moins onéreux que de trouver ses propres locaux et de les entretenir. «Ce partenariat nous permet de structurer notre ambition d'accompagner des jeunes entrepreneurs, au cœur d'un campus unique qui rassemblera un écosystème entrepreneurial divers et vertueux, ouvert à l'innovation et à son application concrète dans les entreprises, sous un seul et même toit, accueillant des milliers de fondateurs, partenaires, investisseurs et talents», ajoute Jacques-Antoine Granjon, PDG et fondateur du groupe vente-privee.

«Nous ne voulons pas concurrencer ce qui existe déjà»

Outre des start-up en développement, Station F va aussi accueillir trois fonds d'investissement. Daphni, créé par Marie Ekeland, et Ventech vont y installer de nouveaux bureaux. Kima Ventures, le fonds de capital-risques de Xavier Niel, va y déménager. Station F dispose en tout de huit bureaux privés à louer. Ils pourront accueillir des start-up plus matures ou d'autres fonds. L'immeuble héberge aussi des espaces événementiels, un auditorium de 360 places, un fablab, des salles de réunion, un café, un restaurant ouvert 24 heures sur 24 et un bureau de poste. Xavier Niel finance enfin la construction de logements à Ivry-sur-Seine, afin d'attirer des entrepreneurs du monde entier. Ouverture prévue en 2018. L'achat et l'aménagement de Station F ont déjà coûté plus de 250 millions d'euros au cofondateur de Free, qui prend en charge l'intégralité de son financement. La mairie de Paris, qui lui a vendu le bâtiment, se charge de l'aménagement extérieur.

La capitale compte aujourd'hui une quarantaine de structures accompagnant les start-up sur près de 100.000 mètres carrés, d'après la mairie de Paris. En comparaison, le nouveau projet de Xavier Niel s'établit à lui seul sur 34.000 mètres carrés. Une folie des grandeurs qui ne fait pas peur à son équipe. «Nous ne voulons pas faire de concurrence à ce qui existe déjà. Il y a de la place pour tout le monde», assure Roxanne Varza. «Nous voulons donner une raison aux entrepreneurs du monde entier de s'arrêter par Paris lors de leurs voyages en Europe, plutôt que de se contenter de Londres et Berlin.» En 216, l'Europe a atteint 13,6 milliards de dollars d'investissement dans les entreprises de nouvelles technologies, d'après le fonds d'investissement Atomico. C'est cinq fois plus qu'en 2011.


Source : Le Figaro – Lucie Ronfaut
Sense Agency inaugure sa nouvelle rubrique  « International » avec la venue de conférenciers prestigieux : Jeremy Rifkin, Ken Segall, Brian Solis, Joseph Stiglitz.

Economiste, essayiste, conseiller politique et activiste américain, Jeremy Rifkin est un spécialiste de la  prospective économique et scientifique. Engagé dans l’écologie, il a créé la Fondation des tendances économiques qui étudie les problèmes environnementaux, sociaux, économiques et éthiques.

Très proche collaborateur de Steve Jobs, Ken Segall fut un acteur historique de la réussite d'Apple durant près de 12 ans, À l'origine du nom « iMac » et de campagnes publicitaires  et de slogans restés célèbres, comme « Think Different », il a joué un rôle primordial dans la « résurrection » d'Apple au tournant des années 2000. Ses expériences auprès d'autres grandes sociétés d'informatique comme Intel et Dell lui ont permis de mettre à jour ce qui fait réellement la différence dans la méthode et le succès d'Apple.

Conférencier, écrivain, Brian Solis est analyste au sein d'Altimeter Group, cabinet de recherche et de conseil basé en Californie. Expert du secteur du social media, il étudie les technologies disruptives et leur impact sur les entreprises. Brian Solis est également l'auteur de « The Experience When Business Meets Design ».

Conférencier, auteur, économiste, Joseph Stiglitz enseigne à la Graduate School of Business de l’Université de Columbia. Il a été membre et président du Conseil économique du président Bill Clinton. Après avoir occupé le poste d’économiste en chef de la Banque mondiale de 1997 à 2000, il a reçu le prix Nobel d’économie en 2001, conjointement avec Akerlof et Spence. Il a publié de nombreux travaux sur l’économie du travail, le marché du crédit ou encore l’économie industrielle.








lundi 9 janvier 2017

Meilleurs voeux 2017

Spécialisé dans l’événementiel haut de gamme, Sense Agency conçoit des événements sur-mesure, parfaitement ciselés selon vos attentes. Nous disposons d’un réseau de conférenciers, reconnus dans le monde de la pensée, pour animer votre communication interne et externe et allier l’idée à l’action.
De l’organisation à la production, Sense Agency vous accompagne dans toutes les étapes de réalisation : conférencier trié sur le volet, thématique originale, style personnalisé , format dédié, …  Créatifs et méthodiques, nous vous apportons une gestion de projet cousue main.

Un moment privilégié « haute-culture » pour partager vos messages de façon unique et pertinente !




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