jeudi 21 septembre 2017

Baromètre : 2018 sera l’année de la relation client



Publié le 20/09/2017 par le Hub - La Poste

Dans le cadre du salon Paris Retail Week, qui se tient du 19 au 21 septembre, le cabinet de conseil Oliver Wyman a dévoilé la 4e édition de son baromètre sur la mutation digitale de la distribution, réalisée en partenariat avec LSA. Alors que les précédentes études montraient à quel point les entreprises du secteur semblaient déboussolées par la transformation numérique, le constat diffère cette année : les enseignes se sentent mieux armées face à cette transformation et identifient mieux les apports du digital.

« Avec le digital, ce qui change n’est pas ce que veut le consommateur mais comment il veut l’obtenir, explique Bernard Demeure, Directeur associé chez Oliver Wyman, au magazine LSA. Les distributeurs ont donc réorienté leur stratégie, très axée sur le magasin, pour se tourner vers les besoins clients. »

S’adapter aux nouveaux usages des consommateurs
Ainsi, questionnés sur les raisons de l’adoption d’une stratégie omnicanal au sein de leur entreprise, les sondés ont certes pointé vers l’acquisition de nouveaux clients (à 45 %) ou la nécessité de ne pas se faire distancer par les enseignes concurrentes (à 32 %), mais c’est surtout, pour 88 % d’entre eux, l’adaptation aux nouveaux usages des consommateurs qui fera la différence en 2018.
Parmi les autres enseignements de l’étude : interrogés sur « les solutions les plus innovantes » dans la distribution, les sondés ont plébiscité le magasin sans caisse (57 %). La cabine d’essayage en réalité augmentée (34 %), le paiement sans contact (31 %) et l’assistant intelligent (27 %) ont aussi séduit. Quant à savoir comment le digital pourrait les aider à se différencier en 2018, plus de la moitié d’entre eux (55 %) mettent en avant « l’exploitation de la géolocalisation du client pour lui proposer des offres en temps réel ».

Les défis des objets connectés et de la gestion de la data

Mais le digital représente encore de nombreux défis. Bernard Demeure en identifie au moins deux : la croissance exponentielle des objets connectés, qui privent les distributeurs de la relation directe avec leurs clients, et « la gestion de la data », surtout avec l’entrée en vigueur en mai 2018 du nouveau règlement européen sur la protection des données (ou GDPR). Ce dernier donne tout pouvoir au client sur la propriété et la portabilité des données le concernant. « En clair, le consommateur peut décider que toutes les informations relatives à ses achats en hyper doivent être transmises à telle autre société qui lui donnera un avantage en échange, écrit LSA. On en revient donc à l’importance de nouer une relation particulière avec le client. »

samedi 16 septembre 2017

Participation de Sense Agency au colloque : ART INCERTITUDE CERVEAU

Pendant ses vacances, Sense Agency est resté connecté au monde de l'Innovation et de la Recherche.

En effet, Sense Agency participait au prestigieux colloque de la rentrée, qui se tient traditionnellement au château de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes), organisé par l’Association Art Science Pensée. Cette année, le sujet choisi était «l'Incertitude» associé aux thèmes fondamentaux de l’événement « l’Art et le Cerveau ».

Aux côtés de l’éthologue et conférencier Sense Agency, Boris Cyrulink, de prestigieux intervenants composés de scientifiques, philosophes, artistes, informaticiens, neurologues, universitaires, étaient venus confronter leurs points de vue.


Y participaientt le sculpteur Sacha Sosno, l'astrophysicien André Brahic, le physicien Pierre Coullet, le grand spécialiste de la voix, l’ORL Jean Abitbol, également conférencier Sense Agency, le directeur du Théâtre de Nice Daniel Benoin et bien d'autres personnalités d'envergure.


Saisissez-vous des thèmes Sense Agency pour animer vos événements et optimiser toutes vos opérations de communication corporate.



Céline Faure-Dardour
Production et Organisation
Tél : +33 (0)6 76 06 43 19

vendredi 15 septembre 2017

C'est la rentrée ! La French Tech en Israël

Le secrétaire d’Etat chargé du numérique au centre, Mounir Mahjoubi,
Céline Dardour, au 2ème rang à droite
Du 3 au 8 septembre dernier, Sense Agency participait au DLD Innovation Festival à Tel Aviv qui est l'un des principaux points de démarrage mondial pour les start-ups. Il propose plus de 100 co-événements et conférences auxquels participent les leaders de l'industrie du monde entier.

Toujours soucieux de découvrir les acteurs des nouvelles technologies, d’accroitre son réseau de speakers à l’international, Sense Agency a pu appréhender l’écosystème et la culture entrepreneuriale israélienne.




Mounir Mahjoubi
Petit-déjeuner Orange
Ce fut  également l’occasion de rencontrer les VIPs de l’innovation et des grands comptes comme Coca-Cola et Mercedes qui encouragent les incubateurs et les nouveaux modèles économiques. En Israël, la culture d’entreprise est différente. Les Business Angels s’impliquent énormément dans les sociétés qu’ils financent.


Le festival de l’innovation constituait également  l’un des points d’ancrage de la visite du ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Lemaire et  du secrétaire d’Etat chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi venu pour la promotion de la French Tech représentée par plusieurs métropoles  comme Aix-Marseille, Montpellier, … et des grands comptes comme Orange et de nombreuses start-ups qui participaient à titre individuel.


L’investissement en R&D des entreprises israéliennes est pratiquement le double des entreprises françaises. Selon Bruno Lemaire, une union des pays ne peut être profitable qu’aux deux et l’ère des engagements et des coopérations croisées va s’engager. Il s’est fixé comme objectif de doubler les investissements israéliens en France.


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Céline Faure-Dardour
Production et Organisation
Tél : +33 (0)6 76 06 43 19

jeudi 14 septembre 2017

Bonne rentrée cybermoderne !



La cybermodernité ?

D’après le prisme « postmoderne » (J.-F. Lyotard), les grands discours explicatifs et les grandes idéologies ont disparu, et cette défaillance nous prive d’une analyse systémique comme d’identités solides. D’après le prisme « hypermoderne » (G. Lipovetsky), l’individu se définit comme hyperconsommateur, hypercompétiteur et en conflit avec l’altérité. Or, de tout cela, il n’est déjà plus question en 2017. 
Notre ère est « cybermoderne » : le virtuel et le réel s’intriquent à tel point qu’ils font notre monde, comme notre façon de l’appréhender, d’en profiter, de le changer. 
Vincent Cespedes a créé ce concept pour rendre compte du changement de paradigme que nous vivons tous et qui affecte tous les pans de nos vies. Cliquez sur les liens pour découvrir les joies et les enjeux de la « société translucide ».
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