Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, et le philosophe et sociologue Edgar Morin ont noué un dialogue autour de l'école et son avenir.
Tous deux partagent un même idéal : celui de " l'école de la vie ".
Mais qu'est-ce que cela veut dire ? L'école doit-elle préparer les enfants à affronter les épreuves de la vie ? À choisir une profession qui leurs convienne ? Doit-elle former des citoyens ? L'école peut-elle permettre de s'émanciper ou de s'épanouir par le savoir ?
De ces grands idéaux découlent des questions plus concrètes : quels apprentissages fondamentaux doivent acquérir les élèves ? Quelle est la place respective des humanités (l'enseignement de l'histoire, de la littérature, des langues anciennes), des sciences, des arts ou encore de la pratique, dans le parcours des élèves ?
Ces interrogations débouchent enfin sur un enjeu plus concret : comment transformer l'école ? Par le haut ou par le bas ? Par les initiatives locales et l'autonomie, ou par la loi et les grandes réformes ? Quelle place les familles, les enseignants, les chefs d'établissements ont-ils dans les transformations de l'école ? Quel est l'apport des neurosciences, ou des pédagogies actives, dans l'élaboration des programmes ? Etc., etc..
Tous deux partagent un même idéal : celui de " l'école de la vie ".
Mais qu'est-ce que cela veut dire ? L'école doit-elle préparer les enfants à affronter les épreuves de la vie ? À choisir une profession qui leurs convienne ? Doit-elle former des citoyens ? L'école peut-elle permettre de s'émanciper ou de s'épanouir par le savoir ?
De ces grands idéaux découlent des questions plus concrètes : quels apprentissages fondamentaux doivent acquérir les élèves ? Quelle est la place respective des humanités (l'enseignement de l'histoire, de la littérature, des langues anciennes), des sciences, des arts ou encore de la pratique, dans le parcours des élèves ?
Ces interrogations débouchent enfin sur un enjeu plus concret : comment transformer l'école ? Par le haut ou par le bas ? Par les initiatives locales et l'autonomie, ou par la loi et les grandes réformes ? Quelle place les familles, les enseignants, les chefs d'établissements ont-ils dans les transformations de l'école ? Quel est l'apport des neurosciences, ou des pédagogies actives, dans l'élaboration des programmes ? Etc., etc..
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