VIDÉO - "L'annulation des Jeux a été presque un deuil", l'escrimeuse Cécilia Berder dans 100% Loiret Sport
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Pendant les vacances de Noël, vous avez rendez-vous avec 100% Loiret Sport. Nous allons à la rencontre d'une sportive ou d'un sportif du Loiret qui nous livre son parcours, sa vision sur cette année écoulée et de petites anecdotes. Ce lundi, l'escrimeuse Cécilia Berder, licenciée à Orléans.
Pendant les vacances de Noël, France Bleu Orléans vous propose un nouveau rendez-vous sportif : 100% Loiret Sport. On va à la rencontre de sportives et sportifs du Loiret pour qu'ils nous livrent leur parcours, leur vision de cette année compliquée et quelques anecdotes. C'est à découvrir en vidéo et sur l'antenne de France Bleu Orléans à 18h15 du lundi au vendredi jusqu'au 1er janvier. Rencontre ce lundi avec l'escrimeuse Cécilia Berder, licenciée au Cercle d'escrime Orléanais.
Une année compliquée
Au départ, Cécilia Berder est persuadée que les salles allaient être fermées pour un petit moment, seulement quelques semaines mais elle se rend vite compte que ça va durer. "Les Jeux Olympiques ont été annulés et là vous n'avez plus de solution que de vous rendre compte que c'est compliqué", confie-t-elle. "L'annulation des Jeux a été un gros coup, c'était l'objectif de ma vie, en tout cas professionnelle, ça a été presque un deuil", affirme Cécilia Berder.
Cette phase d'acceptation lui a pris quelques jours, "maintenant, je suis bonne à quoi", se répète-t-elle à ce moment-là, "il faut se redéfinir".
Pourquoi le sabre ?
Cécilia a la chance de choisir entre les trois armes quand elle commence à Quimper : le sabre, l'épée et le sabre. "L'épée, c'est surtout pour ceux qui aiment le marathon, le 1.500 mètres, des gens très patients et très endurants, ce n'était pas pour moi", décrit-elle. "Au milieu, il y a le fleuret, c'est plutôt un 800 mètres, où il faut allier endurance et explosivité", elle trouvait ça trop mou et donc le maître d'arme lui propose le sabre. "Le sabre, c'est clairement un 100 mètres, il faut avoir des qualités d'explosivité, de sprint et de la prise rapide de décision". Elle part là-dessus et ça va lui réussir.
Ce qui lui manque à Orléans
Même si elle s'entraîne maintenant à l'INSEP, à Paris, il y a quand même des petites choses qui lui manquent à Orléans. Comme la "boulangerie qui était en face du lycée" où elle était, aller voir des matches des panthères, ou encore la Coupe du monde d'escrime organisée à Orléans. "Les finales au Zénith me manquent aussi", conclut-elle.
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